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la phonétique est, en fait, selon A

la phonétique est, en fait, selon A. Borrell (1991), enseignant de la phonétique générale, à l’université de Toulouse II, si importante que sans une bonne phonétique il n’y a, à l’oral, aucune chance de transmettre un message qui sera bien compris, même si les mots ont été bien choisis et si la syntaxe est correcte.
Pourtant, elle est négligée, notamment dans le cadre de l’enseignement de la langue arabe. les raisons de cette négligence se résument en trois points. La première raison est la présence d’élèves dialectophones dans les classes d’arabe qui laisse croire que les apprenants sont familiers aves les sons arabes. Ceci constitue un obstacle à l’apprentissage parce que leur présence ne signifie pas que les apprenants ont tous le même degré de maîtrise du dialecte et même s’ils l’ont, leur perception et leur réalisation des sons ont peut être besoin d’être corrigées. À ce propos A. Borrell (1991) ajoute que « les sons et/ou les phonèmes, dans les deux langues qui sont confrontées, ont l’air d’être identiques alors qu’il y a souvent des différences plus ou moins apparentes. Si l’on n’en tient pas compte, cela entraînera, s’ajoutant à d’autres fautes, un accent étranger épouvantable, mais qui est trop souvent le lot de nos jeunes apprenants. » La deuxième raison fournie par les auteurs est la tradition scolaire de l’enseignement de l’arabe dans les pays arabes qui limite l’étude de la phonétique à son rapport avec l’écrit et l’orthographe. À ces raisons s’ajoute une dernière qui porte sur l’absence d’une référence et d’une norme reconnues en matière de phonétique arabe. Cet argument, loin de renforcer l’argumentation des auteurs, constitue un pont faible puisque
nombreux sont les auteurs arabes qui font des études sur la phonétique arabe. On cite, parmi eux, Kamal Bisher, auteur de l’ouvrage très connu intitulé « ‘ilm al aswat » (علم الأصوات), publié en 2000, qui constitue une référence confirmée de la phonétique arabe ; et Ibrahim Anis, fondateur du laboratoire phonétique à la faculté de Dar al ‘ouloum et auteur du livre « al aswat al luġawiya» (الأصوات اللغوية).
Joanne kenworthy, auteur de English teaching pronunciation (1987), souligne que comme le reformule A. Berri (2007) « même si le but, pour les autres aspects de l’apprentissage d’une langue étrangère est d’approcher d’aussi près possible la compétence d’un natif, on signale souvent, pour l’acquisition de la prononciation, un objectif minimal d’intelligibilité confortable, c’est-à-dire permettant à l’apprenant d’être compris sans difficulté dans les situations impliquant l’usage de la langue-cible ».
Même si les accents en langue arabe sont multiples la correction phonétique est essentielle puisque remplacer un son par un autre peut rendre la communication impossible. cette correction est un travail dont l’efficacité dépend de la persévérance et qu’elle doit être parallèle à l’acquisition des nouvelles compétences tout au long des années d’étude. Étant donné que la remédiation est toujours la méthode la plus efficace, ils est nécessaire de comprendre les raisons de la mauvaise prononciation pour choisir les entraînements appropriés.
Dans ce contexte B. Malmberg, professeur à l’ université de Lund en suède, écrit en 1954 « Celui qui veut apprendre à bien prononcer une langue étrangère, devra acquérir d’abord la maîtrise d’un grand nombre d’habitudes articulatoires nouvelles (une base articulatoire). Il ne faut pas croire qu’il s’agisse seulement d’apprendre quelques sons nouveaux et, pour le reste, utiliser les sons déjà connus. »
En conclusion , il faut mettre l’accent sur un problème courant qui se manifeste par une séparation de la phonétique des autres éléments relatifs au son tels que la scansion (action de prononcer en détachant et en appuyant chaque syllabe, chaque mot ou groupe de mot), la musique de la langue, le souffle et la respiration etc. Ceci fut le sujet d’études faites par Dario Pagel (1996), spécialiste de phonétique. Il en conclut qu’une bonne compétence communicationnelle n’est pas seulement, comme le pensent généralement de trop nombreux didacticiens, une maîtrise convenable de la syntaxe et un lexique assez conséquent. C’est aussi, une maîtrise des aspects phonétiques et, en premier lieu, des éléments prosodiques. Ce sont des aspects caractéristiques de la langue qui jouent un rôle important dans la compréhension.
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la phonétique est, en fait, selon A. Borrell (1991), enseignant de la phonétique générale, à l’université de Toulouse II, si importante que sans une bonne phonétique il n’y a, à l’oral, aucune chance de transmettre un message qui sera bien compris, même si les mots ont été bien choisis et si la syntaxe est correcte.Tuy nhiên, nó bỏ qua, đặc biệt là trong bối cảnh giảng dạy ngôn ngữ tiếng ả Rập. những lý do cho thiếu sót này được tóm tắt trong ba điểm. Lý do đầu tiên là sự hiện diện của học sinh Vivante trong các lớp học của tiếng ả Rập mà cho thấy rằng học viên quen thuộc aves ả Rập âm thanh. Điều này tạo thành một rào cản để học bởi vì sự hiện diện của họ không có nghĩa rằng tất cả học viên có cùng một mức độ làm chủ của giọng và ngay cả khi họ đã làm, nhận thức của họ và của họ nhận thức của các âm thanh có ngày cần phải được sửa chữa. Trong kết nối này A. Borrell (1991) cho biết thêm rằng "âm thanh hay hình vị, trong hai ngôn ngữ đang phải đối mặt, cần phải giống hệt nhau trong khi không thường có sự khác biệt đáng chú ý hơn. Nếu bạn xem xét nó, điều này sẽ gây, ngoài lỗi khác, một nước ngoài giọng appalling, nhưng đó là quá thường xuyên nhiều học viên trẻ của chúng tôi. "Lý do thứ hai được đưa ra bởi các tác giả là trường truyền thống của việc giảng dạy tiếng ả Rập trong các quốc gia ả Rập, mà giới hạn nghiên cứu về ngữ âm học mối quan hệ của nó với văn bản và chính tả. Ngoài những lý do một cuối cùng với sự vắng mặt của một tài liệu tham khảo và một tiêu chuẩn công nhận ngữ âm học tiếng ả Rập. Điều này lý luận, xa tăng cường đối số của các tác giả, là một cây cầu thấpnombreux sont les auteurs arabes qui font des études sur la phonétique arabe. On cite, parmi eux, Kamal Bisher, auteur de l’ouvrage très connu intitulé « ‘ilm al aswat » (علم الأصوات), publié en 2000, qui constitue une référence confirmée de la phonétique arabe ; et Ibrahim Anis, fondateur du laboratoire phonétique à la faculté de Dar al ‘ouloum et auteur du livre « al aswat al luġawiya» (الأصوات اللغوية).Joanne kenworthy, auteur de English teaching pronunciation (1987), souligne que comme le reformule A. Berri (2007) « même si le but, pour les autres aspects de l’apprentissage d’une langue étrangère est d’approcher d’aussi près possible la compétence d’un natif, on signale souvent, pour l’acquisition de la prononciation, un objectif minimal d’intelligibilité confortable, c’est-à-dire permettant à l’apprenant d’être compris sans difficulté dans les situations impliquant l’usage de la langue-cible ».Même si les accents en langue arabe sont multiples la correction phonétique est essentielle puisque remplacer un son par un autre peut rendre la communication impossible. cette correction est un travail dont l’efficacité dépend de la persévérance et qu’elle doit être parallèle à l’acquisition des nouvelles compétences tout au long des années d’étude. Étant donné que la remédiation est toujours la méthode la plus efficace, ils est nécessaire de comprendre les raisons de la mauvaise prononciation pour choisir les entraînements appropriés.Dans ce contexte B. Malmberg, professeur à l’ université de Lund en suède, écrit en 1954 « Celui qui veut apprendre à bien prononcer une langue étrangère, devra acquérir d’abord la maîtrise d’un grand nombre d’habitudes articulatoires nouvelles (une base articulatoire). Il ne faut pas croire qu’il s’agisse seulement d’apprendre quelques sons nouveaux et, pour le reste, utiliser les sons déjà connus. »En conclusion , il faut mettre l’accent sur un problème courant qui se manifeste par une séparation de la phonétique des autres éléments relatifs au son tels que la scansion (action de prononcer en détachant et en appuyant chaque syllabe, chaque mot ou groupe de mot), la musique de la langue, le souffle et la respiration etc. Ceci fut le sujet d’études faites par Dario Pagel (1996), spécialiste de phonétique. Il en conclut qu’une bonne compétence communicationnelle n’est pas seulement, comme le pensent généralement de trop nombreux didacticiens, une maîtrise convenable de la syntaxe et un lexique assez conséquent. C’est aussi, une maîtrise des aspects phonétiques et, en premier lieu, des éléments prosodiques. Ce sont des aspects caractéristiques de la langue qui jouent un rôle important dans la compréhension.
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Ngữ âm học, trong thực tế, theo A. Borrell (1991), giáo viên về ngữ âm học chung tại Đại học Toulouse II, quan trọng như vậy mà không có ngữ âm đúng có, bằng miệng, không có cơ hội truyền tải một thông điệp được hiểu, thậm chí nếu các từ được lựa chọn tốt và nếu cú pháp là đúng.
Tuy nhiên, nó vẫn bị bỏ mặc, đặc biệt trong bối cảnh của việc giảng dạy ngôn ngữ tiếng Ả Rập. những lý do cho sự thờ ơ này được tóm tắt trong ba điểm. Lý do đầu tiên là sự hiện diện của sinh viên trong các phương ngữ của các lớp học tiếng Ả Rập cho thấy rằng học viên đã quen thuộc aves âm thanh Arab. Đây là một rào cản đối với việc học tập vì sự hiện diện của họ không có nghĩa là học viên có cùng một mức độ làm chủ của phương ngữ và thậm chí nếu họ làm, nhận thức và thực hiện của họ về âm thanh có thể có nhu cầu sửa chữa. Về vấn đề này A. Borrell (1991) cho biết thêm rằng "những âm thanh và / hoặc âm vị, trong cả hai ngôn ngữ mà phải đối mặt, xuất hiện để được giống hệt nhau khi thường có sự khác biệt nhiều hơn hoặc ít rõ ràng hơn. Nếu chúng ta không đưa vào tài khoản kết quả này, kết hợp với những lỗi lầm khác, một giọng nước ngoài khủng khiếp, nhưng là quá thường xuyên rất nhiều học viên trẻ của chúng tôi. "Lý do thứ hai được đưa ra bởi các tác giả là các truyền thống học tập của giảng dạy tiếng Ả rập ở các nước Ả Rập, được giới hạn nghiên cứu của ngữ âm học quan hệ của nó với văn bản và chính tả. Đối với những lý do này cho biết thêm một cuối cùng đó là việc thiếu một tài liệu tham khảo và một tiêu chuẩn được công nhận cho tiếng Ả Rập ngữ âm. Lập luận này, xa tăng cường các lập luận của các tác giả, tạo thành một cây cầu yếu từ
nhiều nhà văn Arab những người nghiên cứu ngữ âm học tiếng Ả Rập. Nó trích dẫn, trong đó Kamal Bisher, tác giả của cuốn sách nổi tiếng "ILM al aswat" (علم الأصوات), xuất bản năm 2000, là một tài liệu tham khảo đã được chứng minh Ả Rập ngữ âm; và Anis Ibrahim, người sáng lập của phòng thí nghiệm âm tại Khoa Dar al 'Ulum và là tác giả của "al aswat al luġawiya" (الأصوات اللغوية).
Joanne Kenworthy, tác giả của dạy phát âm tiếng Anh (1987), đã chỉ ra rằng khi dựng lại A. Berri (2007) "ngay cả nếu mục đích cho các khía cạnh khác của việc học một ngôn ngữ nước ngoài là để tiếp cận như là chặt chẽ nhất có thể thẩm quyền của người bản xứ, nó thường báo hiệu cho việc mua lại phát âm Một mục tiêu tối thiểu của tri thoải mái, đó là để nói cho phép người học phải được hiểu một cách dễ dàng trong các tình huống liên quan đến việc sử dụng ngôn ngữ đích.
"Mặc dù giọng Arabic nhiều chỉnh ngữ âm là cần thiết kể từ khi thay thế bằng âm thanh khác có thể làm cho thông tin liên lạc không thể. điều chỉnh này là một công việc có hiệu quả phụ thuộc vào sự kiên trì và phải là song song với việc mua lại các kỹ năng mới trong suốt năm học. Cho rằng việc xử lý vẫn là phương pháp hiệu quả nhất, họ cần phải hiểu những lý do cho sự phát âm sai để chọn đào tạo thích hợp.
Trong bối cảnh này B. Malmberg, giáo sư tại Đại học Lund ở Thụy Điển, đã viết vào năm 1954 "Ai muốn tìm hiểu để nói tiếng nước ngoài, trước tiên phải có được quyền kiểm soát một số lượng lớn các thói quen cấu âm mới (một cơ sở khớp nối). Không tin dù đó chỉ là để tìm hiểu một vài âm thanh mới và, đối với phần còn lại, sử dụng những âm thanh đã được biết đến. "Trong kết luận, chúng ta phải tập trung vào một vấn đề phổ biến mà được biểu hiện bằng một ly thân của ngữ âm các mặt hàng khác có liên quan đến âm thanh như sự ngâm thơ từng vế (hành động phát âm bằng cách tách và hỗ trợ mỗi âm tiết, mỗi từ hoặc nhóm từ), âm nhạc của ngôn ngữ, hơi thở và thở vv
Đây là chủ đề của các nghiên cứu của Dario Pagel (1996), Ngữ âm học chuyên khoa. Ông kết luận rằng một năng lực giao tiếp tốt không chỉ là, như thường suy nghĩ quá nhiều nhà giáo dục, một chủ phù hợp của cú pháp và từ vựng khá lớn. Nó cũng là một Thạc sĩ khía cạnh ngữ âm, đầu tiên, các yếu tố điệu tính. Đây là những tính năng đặc trưng của ngôn ngữ rất quan trọng trong sự hiểu biết.
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