omme un chasseur indien. Quand elle se fut relevée, il prit Kate par l dịch - omme un chasseur indien. Quand elle se fut relevée, il prit Kate par l Việt làm thế nào để nói

omme un chasseur indien. Quand elle

omme un chasseur indien. Quand elle se fut relevée, il prit Kate par la main et l’entraîna fermement.
Ils marchèrent dans l’angle aigu que formait la verrière avec le sol à l’endroit où elle s’y enfonçait. Les aiguilles de pin avaient roulé dans ce sinus et l’avaient peu à peu comblé. Il formait un étroit chemin de ronde, mou et parfois fuyant sous le pas mais, à tout prendre, solide et praticable. Des gravats laissés par les ouvriers au moment de la construction de la salle obligeaient parfois à un petit détour dans la pente. Mais il était assez commode de se laisser guider par le long mur de verre et Kate reprit confiance.
Elle se demandait seulement où cela allait les conduire. N’allaient-ils pas simplement marcher parallèlement au sentier sur toute la longueur de son trajet ? À quoi cela servirait-il ? Mais Baïkal avait l’air de savoir où il allait et elle se retint de l’interroger. S’il était fort peu probable que le sous-bois fût doté de caméras – c’était pour cela sans doute qu’il avait choisi de quitter le sentier sous le couvert – on ne pouvait exclure la présence de micros. Les chants d’oiseaux étaient toujours audibles. Kate savait que, s’ils provenaient de haut-parleurs, la même installation était généralement pourvue d’une prise de son. D’ailleurs, Baïkal s’adressait à elle par signes. Après un bon quart d’heure de marche près de la paroi, il s’arrêta, posa son sac à dos et d’un geste muet de la main l’engagea à faire de même.
Elle le vit alors effleurer la surface de verre avec une minutie prudente. Il ouvrit ensuite le rabat de son sac à dos, y glissa la main et sortit une petite pochette de toile. Il défronça son ouverture et en tira quelques outils : pince, tournevis, clé anglaise. Elle était stupéfaite qu’il ait pu soustraire ces objets interdits à la surveillance antiterroriste. Comment leur avait-il fait passer le portique d’entrée ?
Pour la première fois, à la vue de ces outils pourtant ordinaires, Kate eut peur de ce qu’ils allaient faire. Elle était là parce qu’il ne lui semblait pas possible de laisser Baïkal entreprendre cela sans être à ses côtés. Mais maintenant l’action était engagée, et toutes les conséquences lui apparaissaient.
Plus habituée à la pénombre verte du sous-bois, elle distingua ce que Baïkal était allé chercher en tâtonnant. Là où ils s’étaient arrêtés, le creux d’un ruisseau se marquait dans la pente entre les arbres. Il était à sec pour le moment. Mais la nuit, lorsqu’on déclenchait les arrosages artificiels qui apportaient à boire aux arbres et aux plantes situés sous les verrières, il était probable que l’eau en excès ruisselait et s’écoulait par ces rigoles. À l’endroit où elles atteignaient la paroi de verre, celle-ci était pourvue d’une trappe qu’une télécommande devait permettre de relever. En effet, à un mètre du sol à peu près, on distinguait une large charnière métallique. Le carré de verre situé au-dessous formait comme un sabord pivotant.
Baïkal ôta prudemment le capot de la charnière et, avec des gestes précis, entreprit d’agir sur son mécanisme à l’aide de ses outils. Au bout d’un instant assez long, le carreau de verre se mit à basculer vers l’extérieur, ménageant bientôt une ouverture suffisante pour passer à quatre pattes. Baïkal rangea ses outils, remit son sac à dos et resta un instant comme un chien en arrêt, à écouter si un bruit suspect, une sirène, quelque signe d’alerte leur parvenait.
Rien ne vint. Rien sauf une sensation inattendue, une odeur issue de l’autre côté, haleine soufflée par la mâchoire de verre béante. Kate se souvenait, quand elle était petite, d’avoir visité un musée du monde agricole. Les vitrines étaient pourvues de petits inhalateurs qui restituaient des odeurs de ce passé révolu. L’une d’elles était intitulée : brûlis. C’était un peu piquant, un peu âcre et les enfants ne se représentaient pas bien ce que pouvaient être des brûlis. Le mot sonnait comme un nom de gâteau. Elle voyait des petits dés de chocolat semés d’amandes grillées… Kate fut tout émue de sentir par cette ouverture la vieille odeur à la fois familière et enfouie. Comme si la paroi, en s’ouvrant, n’eût pas seulement offert un nouvel espace mais livré aussi un passage dans le temps. Bien après, elle devait se souvenir que cette réminiscence de l’enfance, pour insignifiante qu’elle fût, l’avait pourtant décidée à commettre ce jour-là l’irréparable.
Au moment de franchir le passage qu’il avait ouvert dans la verrière, Baïkal eut un dernier sourire. Il était pour une fois sans amertume ni impatience. C’était le sourire de celui qui saisit un trésor à pleines poignées dans le coffre qu’il vient d’ouvrir.
Quand vint son tour, Kate se mit à quatre pattes dans les aiguilles de pin et, sans jeter le moindre regard derrière elle, entra en zone interdite.
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Sao chép!
omme un chasseur indien. Quand elle se fut relevée, il prit Kate par la main et l’entraîna fermement.Ils marchèrent dans l’angle aigu que formait la verrière avec le sol à l’endroit où elle s’y enfonçait. Les aiguilles de pin avaient roulé dans ce sinus et l’avaient peu à peu comblé. Il formait un étroit chemin de ronde, mou et parfois fuyant sous le pas mais, à tout prendre, solide et praticable. Des gravats laissés par les ouvriers au moment de la construction de la salle obligeaient parfois à un petit détour dans la pente. Mais il était assez commode de se laisser guider par le long mur de verre et Kate reprit confiance.Elle se demandait seulement où cela allait les conduire. N’allaient-ils pas simplement marcher parallèlement au sentier sur toute la longueur de son trajet ? À quoi cela servirait-il ? Mais Baïkal avait l’air de savoir où il allait et elle se retint de l’interroger. S’il était fort peu probable que le sous-bois fût doté de caméras – c’était pour cela sans doute qu’il avait choisi de quitter le sentier sous le couvert – on ne pouvait exclure la présence de micros. Les chants d’oiseaux étaient toujours audibles. Kate savait que, s’ils provenaient de haut-parleurs, la même installation était généralement pourvue d’une prise de son. D’ailleurs, Baïkal s’adressait à elle par signes. Après un bon quart d’heure de marche près de la paroi, il s’arrêta, posa son sac à dos et d’un geste muet de la main l’engagea à faire de même.Elle le vit alors effleurer la surface de verre avec une minutie prudente. Il ouvrit ensuite le rabat de son sac à dos, y glissa la main et sortit une petite pochette de toile. Il défronça son ouverture et en tira quelques outils : pince, tournevis, clé anglaise. Elle était stupéfaite qu’il ait pu soustraire ces objets interdits à la surveillance antiterroriste. Comment leur avait-il fait passer le portique d’entrée ?Pour la première fois, à la vue de ces outils pourtant ordinaires, Kate eut peur de ce qu’ils allaient faire. Elle était là parce qu’il ne lui semblait pas possible de laisser Baïkal entreprendre cela sans être à ses côtés. Mais maintenant l’action était engagée, et toutes les conséquences lui apparaissaient.Plus habituée à la pénombre verte du sous-bois, elle distingua ce que Baïkal était allé chercher en tâtonnant. Là où ils s’étaient arrêtés, le creux d’un ruisseau se marquait dans la pente entre les arbres. Il était à sec pour le moment. Mais la nuit, lorsqu’on déclenchait les arrosages artificiels qui apportaient à boire aux arbres et aux plantes situés sous les verrières, il était probable que l’eau en excès ruisselait et s’écoulait par ces rigoles. À l’endroit où elles atteignaient la paroi de verre, celle-ci était pourvue d’une trappe qu’une télécommande devait permettre de relever. En effet, à un mètre du sol à peu près, on distinguait une large charnière métallique. Le carré de verre situé au-dessous formait comme un sabord pivotant.Baïkal ôta prudemment le capot de la charnière et, avec des gestes précis, entreprit d’agir sur son mécanisme à l’aide de ses outils. Au bout d’un instant assez long, le carreau de verre se mit à basculer vers l’extérieur, ménageant bientôt une ouverture suffisante pour passer à quatre pattes. Baïkal rangea ses outils, remit son sac à dos et resta un instant comme un chien en arrêt, à écouter si un bruit suspect, une sirène, quelque signe d’alerte leur parvenait.Rien ne vint. Rien sauf une sensation inattendue, une odeur issue de l’autre côté, haleine soufflée par la mâchoire de verre béante. Kate se souvenait, quand elle était petite, d’avoir visité un musée du monde agricole. Les vitrines étaient pourvues de petits inhalateurs qui restituaient des odeurs de ce passé révolu. L’une d’elles était intitulée : brûlis. C’était un peu piquant, un peu âcre et les enfants ne se représentaient pas bien ce que pouvaient être des brûlis. Le mot sonnait comme un nom de gâteau. Elle voyait des petits dés de chocolat semés d’amandes grillées… Kate fut tout émue de sentir par cette ouverture la vieille odeur à la fois familière et enfouie. Comme si la paroi, en s’ouvrant, n’eût pas seulement offert un nouvel espace mais livré aussi un passage dans le temps. Bien après, elle devait se souvenir que cette réminiscence de l’enfance, pour insignifiante qu’elle fût, l’avait pourtant décidée à commettre ce jour-là l’irréparable.Au moment de franchir le passage qu’il avait ouvert dans la verrière, Baïkal eut un dernier sourire. Il était pour une fois sans amertume ni impatience. C’était le sourire de celui qui saisit un trésor à pleines poignées dans le coffre qu’il vient d’ouvrir.Quand vint son tour, Kate se mit à quatre pattes dans les aiguilles de pin et, sans jeter le moindre regard derrière elle, entra en zone interdite.
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Sao chép!
ike một máy bay chiến đấu của Ấn Độ. Khi cô thấy nhẹ nhõm, ông nắm lấy tay ​​Kate và dẫn anh vững.
Họ bước vào các góc nhọn tạo thành tán với mặt đất tại nơi mà nó đã đánh chìm nó. Lá thông đã được cuộn lại thành các xoang và đã dần dần lấp đầy. Nó hình thành một lối đi hẹp, mềm mại và đôi khi chạy trốn như nhưng không, trên toàn bộ, mạnh mẽ và thiết thực. Đống đổ nát còn lại do người lao động tại các công trình của các trường đôi khi buộc phải đi đường vòng để dốc. Nhưng nó đã đủ thuận tiện để được hướng dẫn bởi các bức tường kính dài và Kate đã lấy lại sự tự tin.
Cô tự hỏi chỉ là nơi mà nó sẽ dẫn dắt họ. Không họ sẽ chỉ cần đi bộ dọc theo đường mòn dọc theo toàn bộ chiều dài của đường đi của nó? Nó sẽ làm những gì? Nhưng Baikal dường như biết mình đang đi đâu và cô ấy tự chế không đặt câu hỏi. Nếu nó là không cao mà những bụi được trang bị máy ảnh - mà có lẽ là lý do tại sao ông đã chọn để rời khỏi con đường dưới cover - nó không thể loại trừ sự hiện diện của micro. Các bài hát con chim vẫn còn nghe được. Kate biết rằng nếu họ đến từ loa phóng thanh, hệ thống này cũng được thường được cung cấp với một ổ cắm âm thanh. Bên cạnh đó, Baikal gọi cô ấy bằng dấu hiệu. Sau khi đi bộ tốt cho đến giờ quý gần nhất của bức tường, anh dừng lại, đặt ba lô của mình và một cử chỉ tay im lặng thôi thúc anh phải làm như vậy.
Sau đó, cô nhìn thấy đầu các bề mặt kính với sự chú ý cẩn thận đến từng chi tiết. Sau đó, ông mở nắp của ba lô, trượt ra và lấy ra một túi vải nhỏ. Nó défronça mở và lấy một số công cụ: kìm, tua vít, cờ lê. Cô rất ngạc nhiên rằng ông có thể trừ những đối tượng bị cấm giám sát chống khủng bố. Làm thế nào nếu ông không làm cho họ trên hàng hiên lối vào?
Lần đầu tiên, khi nhìn thấy những công cụ này chưa bình thường, Kate sợ về những gì họ sẽ làm gì. Cô đã ở đó vì anh dường như không thể cho anh ta để lại Baikal thực hiện điều này mà không được ở bên cạnh anh. Nhưng bây giờ hành động đã được bắt đầu, và tất cả những hậu quả hiện ra với cô.
More quen với những bụi cây xanh tối, cô nhận thấy rằng Baikal đã đi để có được sờ mó. Bất cứ nơi nào họ dừng lại, rỗng của một dòng được đánh dấu trên độ dốc giữa các cây. Đó là khô tại thời điểm này. Nhưng vào ban đêm, khi được kích hoạt tưới nước nhân tạo người mang đồ uống đến các cây và thực vật nằm bên dưới cửa sổ, đó là khả năng là nước thừa chảy và chảy bởi những mương. Tại điểm mà họ đạt các bức tường thủy tinh, nó được trang bị với một nở một điều khiển từ xa đã được dự kiến để đáp ứng. Thật vậy, một mét so với mặt đất như vậy, có thể được nhìn thấy một bản lề kim loại lớn. Kính vuông dưới hình thành như là một xoay cảng.
Baikal cẩn thận loại bỏ nắp đậy ra khỏi bản lề và, với những cử chỉ chính xác, đã thực hiện hành động trên cơ chế của nó bằng cách sử dụng các công cụ của nó. Sau một lúc lâu, gạch thủy tinh bắt đầu xoay ra phía ngoài, sớm để lại một lỗ đủ lớn để vượt qua trên tất cả bốn chân. Baikal đóng gói công cụ của mình, đặt ba lô của mình và đứng một lúc giống như một con chó tha mồi, để lắng nghe nếu một tiếng động đáng ngờ, còi báo động, một dấu hiệu cảnh báo đến được với họ.
Không có gì đến. Không có gì nhưng một cảm giác bất ngờ, sau khi mùi ở phía bên kia, hơi thở thổi theo ly hàm hổng. Kate nhớ, khi cô còn bé, đã đến thăm một bảo tàng nông nghiệp. Các cửa sổ được trang bị ống hít nhỏ hơn mà đã trở lại các mùi đó đã qua trong quá khứ. Một trong số họ đã có tiêu đề ghi đĩa. Đó là một chút gia vị, một chút vị chát và trẻ em không được đại diện những gì có thể được đốt cháy. Từ vẻ giống như một tên bánh. Cô nhìn thấy con xúc xắc sô cô la hạnh nhân nướng nhỏ hạt ... Kate đã xúc động sâu sắc bởi sự cởi mở này để cảm nhận được mùi cũ vừa quen thuộc và chôn cất. Vì nếu các bức tường, mở cửa, sẽ không chỉ cung cấp một không gian mới mà còn cung cấp một đoạn trong thời gian. Lâu sau, cô phải nhớ rằng hồi tưởng này của tuổi thơ, cho không đáng kể như nó đã được, tuy nhiên đã quyết định cam kết ngày mà không thể khắc phục.
Khi băng qua những đoạn văn ông đã mở trong tán, Baikal là một nụ cười cuối cùng. Đó là một lần mà không cay đắng hay thiếu kiên nhẫn. Đó là nụ cười của một người nắm lấy một kho báu nắm trong thân cây vừa mới mở.
Khi đến lượt người đã đến, Kate bắt đầu bằng bốn chân trong lá thông, và không có ném cái nhìn nhỏ phía sau cô , bước vào vùng cấm.
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