Le petit Nicolas, ses parents et Mémé prennent la route en direction de la mer, et s’installent pour quelques temps à l’Hôtel Beau-Rivage. Sur la plage, Nicolas se fait vite de nouveaux copains : il y a Blaise, qui n’est pas en vacances parce qu’il vit ici, Fructueux, qui aime tout, même le poisson, Djodjo, qui ne parle pas comme eux parce qu'il est anglais, Crépin, qui pleure tout le temps, et Côme, qui veut toujours avoir raison et c’est très énervant. Mais Nicolas fait aussi la connaissance d’Isabelle, une petite fille qui le regarde tout le temps avec de grands yeux ronds et inquiétants, et à laquelle il croit que ses parents veulent le marier de force. Les quiproquos s'accumulent, et les bêtises commencent. Une chose est sûre : ce sera, pour tout le monde, des vacances inoubliables… Critique : Le premier "Petit Nicolas" était un film plutôt sympathique , ou l'on retrouvait la plupart des personnages des livres. Mais là................................... C'est ce que j'appelle: l'effet Canada Dry pour ce nouvel opus : Son nom ressemble à un Petit Nicolas, c’est doré comme un Petit Nicolas (en vacances), mais ce n’est pas du Petit Nicolas. C'est un mauvais film ( il faut le dire malheureusement ). Bon commençons par le début. lors qu’en 2009, l’adaptation des aventures du Petit Nicolas arrivée dans les salles, ce n’est que cette année que sa suite sort enfin, et tout comme Ducobu ou prochainementles Profs, c’est en vacances que l’on retrouve le Petit Nicolas.L’adaptation de 2009, même si elle ne collait pas parfaitement à l’œuvre originale, avait au moins été étonnante dans le sens où elle était réussie, aussi bien l’ambiance retranscrite, le choix des acteurs (principalement les enfants), les choix scénaristique et la petite touche d’humour. Maintenant, le Petit Nicolas sort de l’école pour les vacances, et à en croire le film, il n’y avait pas que le personnage principal du film qui était en vacances.De trouver des éléments positifs pour ce film est une mission totalement impossible. Dès le départ, le scénario de cette seconde aventure ne colle pas au premier film. Quelques éléments supprimés, surtout la petite sœur qui disparaît et qui semble n’avoir eu aucune existence pour ce film. On ne sait pas vraiment si l’on doit considérer ce film comme une suite ou plutôt comme un reboot ou une histoire totalement sortie de nulle part. Ayant lu plusieurs des livres du Petit Nicolas, il y a très longtemps, je m’en souviens assez pour dire que même si le premier avait eu quelques petits ajustements, cette fois-ci, les ajustements ne sont pas petits, à croire que les scénaristes n’ont repris que la couverture du livre pour le titre du film, bien sûr certains éléments et les personnages sont là mais c’est limite pour considérer qu’il s’agisse d’une adaptation.En allant un peu plus dans le détail, on finit par tellement creuser que finalement, on retrouve le scénario totalement au fond du trou. Entre scènes improbables, cumul de niaiserie, on espère se rattraper sur l’humour que l’on avait dans le premier film, mais malheureusement tout l’humour du film se retrouve à 90% dans la bande annonce. 1h30 de film pour voir des gosses hurlants et courants dans tous les sens, et des parents et personnages secondaires qui sont là pour remplir les trous avec des scènes soit inutiles soit improbables, rien que la scène de danse avec Valérie Lemercier, on se demande qui a eu l’idée de cette scène et de tout ce qui en découlera.Nếu một yếu tố tích cực cho bộ phim này, bầu khí quyển chung của bộ phim mà dường như để chuyển tải thời gian, mục duy nhất mà có là sự chú ý.Qu’est t’il arrivé à Laurent Tirard ? C’est la question que l’on se pose en regardant Les vacances du Petit Nicolas. Une réalisation mollassonne et presque absente par moment. En dehors de servir quelques scènes de cartes postales, le reste de la réalisation est franchement horrible, on pose la caméra, aucun réglage, ça tourne… Durant la projection, on peut s’apercevoir que la qualité des plans est inégale. Parfois, une image claire et nette, et parfois l’image décroche et part dans le flou, et ce n’est pas un problème technique, c’est le film qui est comme cela. A la fin de la projection, on sent que Laurent Tirard a fait le film pour dire d’avoir fait un film, et qu’il s’est emmerdé à un point qu’il se moquait totalement du résultat final.ais si au moins, les acteurs sauvaient un peu la mise, aussi bien les adultes que les enfants. Devant le casting adulte, on a l’impression de voir des acteurs qui ne font que répéter leurs textes de façon mécanique et sans aucune conviction. Mais normalement, c’est le casting enfant qui devraient être fort dans ce genre de film, mais non pas ici. Les enfants en font des caisses, et on se retrouve avec une bande de têtes à claques insupportables. De plus, comme les deux films sont séparés par presque cinq ans, il a fallut changer d’acteurs pour le Petit Nicolas. Maxime Godart, qui interprété le premierPetit Nicolas collait parfaitement au personnage selon moi, il ressemblait à ce que j’imaginais. De même pour le reste des enfants du premier film, par contre pour le second film, même si les copains du Petit Nicolas ressemblent à ce que l’on pouvait imaginer, le nouveau Nicolas (Mathéo Boisselier) ne fonctionne pas du tout pour moi. Tête à claques en chef, erreur de casting assez monumentale avec un gosse qui s'agite dans tous les sens et qui en fait des tonnes lorsqu'il a trois lignes de textes.Les vacances du Petit Nicolas tentent de suivre le succès du premier film de 2009. Estampillé comme la comédie familiale de l’été, on s’ennuie franchement, ce n’est pas une comédie, et le familiale on repassera, c’est surtout un Téléfilm pour les gosses. Rien ne va réellement dans cette nouvelle aventure, le scénario incohérent où l’on est plus proche d’un film avec plusieurs petits sketches, le réalisateur qui ne fait pas grand-chose et le casting qui ne va pas non plus. Entre le premier et le second film, il y a eu une perte de qualité assez monumentale. Après des Astérix calamiteux et au mieux moyens, et une seconde aventure du Petit Nicolas bâclée, l’esprit de Goscinny ne doit plus être en paix depuis un moment…
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