1 – Limitez au maximum votre consommation de viande rougeIl est préférable d’éviter dans tous les cas la viande rouge, même maigre, car le bétail est en général saturé par les hormones et les antibiotiques utilisés par les élevages industriels, notamment parce qu’il faut plus de temps pour élever une vache ou un cochon qu’une poule. De plus cette viande est souvent riche en cholestérol, et il y a un risque d’infection par les prions, en raison de la maladie de la vache folle.Au pire, mangez de la viande rouge bio, mais essayez de privilégier la viande blanche et les poissons riches en EPA/DHA, notamment le saumon. Prenez les bio si vous le pouvez.2 – Privilégiez les bonnes graissesC’est à dire les graisses Omega 3 et Omega 6 plutôt que saturées et les mauvaises graisses insaturées (pour une explication de ce que sont les graisses saturées et insaturées, voir le chapitre 6 : Graisses et protéines de Serons-nous immortels ?).Pour cela, concentrez-vous sur les aliments suivants :Les noixLes poissons riches en EPA et DHA, notamment le saumon (le saumon sauvage en contient plus que le saumon d’élevage) et ayant des taux faible de mercure.De l’huile d’olive extra-vierge (ce dernier point est très important).Des graines de lin et de l’huile de lin pressée naturellement.Des légumes.Du tofu.Les viandes maigres, et en particulier les viandes blanches (poulet, dinde). Evidemment, il est préférable de sélectionner des volailles fermières élevées sans hormones et sans antibiotiques.Et évitez absolument :
Les graisses saturées des viandes grasses, du beurre, du lait et des autres produits animaux.
Les huiles de cuisine commerciales (toujours leur préférer de l’huile d’olive extra-vierge).
Les graisses hydrogénées de la margarine ou des graisses végétales, et de presque toutes les pâtisseries commerciales.
De frire en friteuse. Il est préférable de faire sauter à feu vif en utilisant de l’huile d’olive extra-vierge, et le mieux est de mettre de l’eau dans un wok, d’y ajouter une petite quantité de d’huile, et de faire cuire pendant un temps court à température moyenne ou modérée.
3 – Bien mâcher est très important pour notre santé
En effet, avaler de trop gros morceaux avant qu’ils n’aient été correctement broyés, et mélangés à de la salive, oblige le tube digestif à secréter des quantités plus importantes d’enzymes digestives puissantes, ce qui peut provoquer un excès de gaz et des ballonnements, et avec le temps léser l’estomac. Donc prenez votre temps lorsque vous mangez. (Je vous invite également à lire 5 excellentes raisons de manger plus lentement.)
4 – Mangez 5 fruits et légumes par jour
Voici le conseil phare donné par le programme officiel du Ministère de la Santé, Manger Bouger, avec raison.
Les bénéfices apportés par la consommation de légumes frais, naturels et pauvres en amidon sont innombrables : ils contiennent une myriade de nutriments précieux et des fibres, et ont un index glycémique et une densité calorique faible. Il faut toutefois faire attention à ne pas trop les faire cuire : une cuisson trop forte leur ferait perdre leurs vitamines, leurs produits phytochimiques et d’autres nutriments. L’idéal est une légère cuisson à la vapeur, ou une consommation crue pour certains d’entre eux.
Attention, il s’agit de 5 portions de fruits et légumes : manger 3 radis et deux raisins ne suffira évidemment pas ! Et il est tout à fait possible d’en manger 10 portions : 5 est le minimum recommandé. Astuce : plutôt que de compter le nombre de fruits et légumes que vous mangez, ce qui peut être pénible, pensez simplement à faire en sorte que la moitié de chaque repas soit composé de légumes ou de fruits.
Pensez à consommer des produits bien colorés : En mangeant tout une série de légumes naturellement colorés, vous obtenez toute une série de nutriments vitaux.
Vous pouvez également boire du jus de légume fraîchement pressé : en mettant des légumes frais, naturels et pauvres en amidon dans une centrifugeuse élect
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