En sciences sociales et humaines, et plus spécifiquement en sciences de l’information et de lacommunication, des études menées à propos de la participation sur les sites de presse dits« traditionnels » (Falguères, 2006 ; Touboul, 2006) s’inscrivaient dans un contexte où cesdéveloppements n’avaient pas encore eu lieu. Elles concluaient dans l’ensemble à une faible priseen compte par les journalistes de cette activité, malgré un affichage et des discoursvolontaristes. Annelise Touboul achevait son étude sur les espaces participatifs au sein des sitesde Libération et du Monde par cette formule : « les rédactions veulent garder la main, rester àl’origine de l’information »
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