Au nom de l’association « Ville propre » dont je suis le secrétaire général, je me permets de vous écrire afin de vous faire part de mon indignation quant au manque de propreté dans nos chères rues, et afin de vous proposer certaines pistes pouvant enrayer ce mal qui est en train de miner à petit feu la vie de la population.
Vous n’êtes pas sans savoir que la beauté, la santé et la fierté d’une ville dépendent indubitablement de sa propreté. C’est elle qui donne aussi de la vigueur économique et financière à la ville dans la mesure où elle cimente, d’abord, la relation entre les citadins et leur ville ; d’ailleurs, elle permet de retenir dans le cadre urbain des diplôme qui pourraient, sinon, être tentés d’aller s’installer à la campagne, où ils s’adonneraient à une activité physique à laquelle ils auraient toutes les peins du monde à s’habituer.
Et enfin, elle suscite l’envie de certains étrangers d’y venir dans le cadre du tourisme ou pour se lancer dans des investissements.
Il n’est pas inutile, il me semble, de vous rappeler, monsieur le maire, que les déchets qui traîner dans les rues ne font qu’aggraver la santé, déjà fragile, de la population : non seulement ils dégagent des odeurs nauséabondes mais ils sont aussi à l’ origine de certaines maladies contagieuses. Devant se constat, je trouve qu’il est urgent de procurer au service de la voirie tous les moyens nécessaires pour un ramassage régulier et à des horaires propices de ces ordures.
De plus, vous devriez aussi, si possible, créer une police de proximité chargée d’empêcher nos enfants de s’y engouffrer, a la recherche de nourriture, de jeux… Dans l’attente d’une suite que je souhaite favorable et suivie d’effets, je vous prie de croire, monsieur le maire, à mes sentiments les plus distingués.
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